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Sunday, April 17, 2011

la suisse du maroc


La Suisse du Maroc, des paysages de montagne (le Moyen Atlas cette fois a à peine 1h de route de Fes et sa Médina colorée et bruyante. Ici, selon la saison, vous skierez ou partirez en randonnée vers les lacs.
«Qu’il est doux Ifrane et qu’elle est exquise sa beauté», chantait Brahim Alami. De son vrai nom Ourti (jardin en tamazigh), Ifrane est le centre d’estivage marocain le plus fréquenté. La province d’Ifrane se trouve au cœur du Moyen-Atlas avec une superficie de 3573 km2. Elle est habitée par deux grandes tribus Sanhaja, les Béni M’guild et les Béni M’tir. Station de montagne, cette cité est devenue un haut lieu des sports d’hiver. Avec ses chalets aux toits couverts de tuiles rouges, elle est située à 1650 m d’altitude.
Ses richesses naturelles ont amené les responsables de la région à créer un parc national de 53000 ha. C’est dans cette région qu’on trouve la plus grande forêt de cèdre du pays. De son vrai nom Ourti (jardin en tamazigh), Ifrane est le centre d’estivage marocain le plus fréquenté.Ses lacs sont incontournables pour la pêche à la truite et au brochet. Elle est également une région pastorale et possède une station expérimentale pour l’étude des comportements des animaux. «Qu’il est doux Ifrane et qu’elle est exquise sa beauté», chantait Brahim Alami.
De son vrai nom Ourti (jardin en tamazigh), Ifrane est le centre d’estivage marocain le plus fréquenté. Les premières traces de l’installation humaine dans la région remontent au Néolithique. Des grottes telles que celles de Tizguite ainsi que les vestiges archéologiques remontant à la Préhistoire à Zerouka, Ghabt, Al Bahr et Itto en témoignent.




C’est en hommage à ce passé lointain qu’en 1928, par arrêté viziriel, les autorités du protectorat décidèrent de créer un centre d’estivage appelé Ifrane (grottes en tamazighte). Deux projets de création d’une station d’estivage furent proposés à Eirik Labonne, secrétaire général du protectorat. Le premier était celui de l’actuelle ville d’Ifrane et le second optait pour la ville de Ksiba Moha ou Saïd.
La province d’Ifrane se trouve au cœur du Moyen-Atlas et s’étend sur une superficie de 3573 km2. Elle est habitée par deux grandes tribus Sanhaja, les Béni M’guild et les Béni M’tir dont le flux vers le nord «avait été arrêté au XVe siècle par la ceinture des Casbahs fondées par le Sultan Moulay Ismaïl, ce qui a eu pour effet de favoriser la création de noyau de sédentarisation des nomades et a permis la constitution d’agglomérations telles que Azrou et Aïn Leuh.».
 
Station de montagne, Ifrane est devenue après un haut lieu des sports d’hiver. Avec ses nombreux chalets aux toits couverts de tuiles rouges construits par les Français, cette cité est située à 1650 m d’altitude. Chacune de ses villas porte en elle des caractéristiques : des toitures, à tuiles rouges, que certains avancent certaines hypothèses, notamment celles qui concernent leurs pentes. En effet, ces dernières varient de l’angle obtus à l’angle aigü en passant par l’angle droit. Ces inclinaisons rappellent ainsi l’évolution de l’architecture des constructions en France du Sud au Nord, autrement dit de la Côte d’Azur à la Manche.
Le visiteur peut même remarquer l’existence de façades typiquement normandes ou bretonnes, voire alsaciennes. Par un sentiment de nostalgie, chaque Français voulait ainsi transposer le mode d’habitation de son pays d’origine et mémoriser par la même occasion son passage. Un Français qui a vécu à Ifrane de 1936 à 1992 confiait «à propos de l’évolution du tissu urbain de cette cité, qu’en fait les décideurs de l’époque voulaient faire cette une ville où le Français ne se sentira à aucun moment dépaysé».

La province d’Ifrane jouit d’énormes potentialités touristiques : variétés et diversités des paysageslacs et cours d’eau ainsi qu’un climat clément. Ses richesses naturelles en font un pôle touristique de prédilection pour les randonnées, la chasse au sanglier, au perdreau et au lièvre. Ses lacs sont incontournables pour la pêche à la truite et au brochet. Elle est également une région pastorale et possède une station expérimentale pour l’étude des comportements des animaux.
Ces potentialités ont amené les responsables de la région à créer un parc national s’étendant sur une aire de 53 000 ha et représentant un excellent échantillon de la montagne du Moyen-Atlas. C’est là qu’on retrouve la plus grande forêt de cèdre au Maroc. Enfin, cette région possède le noyau le plus important des camps et colonies de vacances du Royaume.



Wednesday, April 13, 2011

oasis M'hamid elghizlane



Franchissons la dernière barrière de montagnes de Banni, et découvrons M’hamid El Ghizlane, l’une des premières portes du désert.
M’hamid El Ghizlane, voudrait dire “la plaine des gazelles”. Elles parcouraient les lieux il y a hélas fort longtemps.
Le climat est sec avec une température élevée. L’environnement est désertique du fait de l’ouverture de la palmeraie sur le Sahara et des chaînes des Atlas qui constituent un rempart contres les perturbations. La température est élevée en été, 42° dans le mois le plus chaud et basse en hiver, 4° dans le mois le plus froid. A certaines périodes, le vent souffle très fort et entraîne des tourbillons de sable.

On y accède facilement, de l’aéroport international de Ouarzazate puis par la route en direction de Zagora. Possibilités de locations de voitures à l’aéroport ou en ville. Transports locaux entre les villes, liaisons régulières de cars. La CTM (Compagnie des Transports du Maroc) est présente dans toutes les gares routières.
On trouve de nombreuses infrastructures hôtelières de différentes catégories dans toute la région. M’hamid El Ghizalne s’est beaucoup développé et offre des hébergements allant de l’hôtel luxueux à l’hôtel plus simple, du riad à la maison d’hôtes en passant par le bivouac. Tous sont très propres et joliment décorés.
Dans un temps pas si lointain, M’hamid El Ghizlane était une oasis, un havre de paix pour les Nomades. On y trouve une architecture en terre résistante, offrant un abri adapté contre les intempéries, comme les tempêtes de sable. L’aridité, la sécheresse et les frontières ont eu raison de la vie itinérante de la plupart des Nomades.
Une grande palmeraie s’étend depuis la Kasbah jusqu’au bord de l’Oued du Draa. Des jardins mixtes, céréales et horticulture ont été plantés à l’ombre des palmiers, sur une superficie de 2700 Km2 et à une hauteur de 500 m au dessus du niveau de la mer, sur une longueur de 16 km. La kasbah, « tighermt » en berbère, maison forte, conçue à l’origine pour se prémunir contre le froid et l’insécurité permanente, abrite les animaux, les récoltes et les puits. L’habitation familiale, peut compter jusqu’à 50 personnes, est la résidence des Caïds locaux de M’hamid. Les maisons traditionnelles, construites en briques d’argile crue, offrent une jolie perspective.
La kasbah a l’aspect simple et austère d’un château fort flanqué de quatre tours d’angle, aux murs légèrement bombés vers l’intérieur. Architecture en hauteur, elle est, en montagne, composée de modestes maisons. Elle domine les vallées fertiles, on peut l’apercevoir des oasis. Au rez-de-chaussée se trouvent les étables pour le bétail, au premier étage le grenier et les stocks de fourrage. Au dessus la cuisine commune et les pièces d’habitation, meublées de quelques coffres, de banquettes, de coussins et de tapis. La salle de réception réservée aux hommes, est la plus proche de l’entrée, ménageant aussi l’intimité du reste de la demeure. Parfois la kasbah était un véritable palais aux salles innombrables, luxueusement décorées, aux multiples patios, aux jardins soignés rafraîchis de bassins. Certaines d’entre elles atteignaient la dimension d’une petite ville.
On peut voir également le petit Mausolée de Sidi Allal ben Jbira. Selon la tradition locale, il serait arrivé un jour pendant une crue du Draa, flottant sur ses eaux.
Dans l’oasis, se trouve un ksar ruiné, connu sous le nom Kasbah el Allouj. Le fort de la légion européenne témoigne encore de l’activité de cette région du Draa moyen à la fin du XVIème siècle, au temps des Saadiens : les échanges commerciaux avec le Soudan étaient alors très importants.
Ce poste frontière, véritable porte du désert, vous montre aussi son souk, le lundi, au coeur du village. C’est le rendez- vous des sédentaires et des “Hommes bleus” du désert. Vous y trouverez les produits de la région à des prix intéressants avec en plus toutes les couleurs et les senteurs que peuvent offrir les marchandises. Vous y serez abordés amicalement, juste pour entamer la conversation par les hommes et les femmes.

Qui sont les « hommes bleus » ?

Les Almoravides furent les premiers hommes voilés à remonter du Sahara au XIème siècle pour fonder la première dynastie berbère. Mais ces grands seigneurs du désert traversant le Sahara à la tête d’importantes caravanes de dromadaires, bien ancrées dans l’imagerie populaire, ne commercent plus. Avec la fermeture des frontières, les échanges transsahariens se sont réduits et le camion a remplacé peu à peu le dromadaire. Les « hommes bleus » tirent leur nom des vêtements en coton teint à l’indigo, qui mêlé à la sueur leur colorait la peau. Leur long turban bleu enroulé savamment autour de la tête, est une protection contre les vents de sable et le soleil. Beaucoup de ces hommes sont aujourd’hui sédentarisés, cultivant quelques parcelles de terre dans l’oasis. D’autres sont restés semi-nomades se déplaçant d’un point d’eau à l’autre.
La préparation du thé est un vrai cérémonial et signe d’accueil chez les Nomades. On en consomme beaucoup, car il soulage la fatigue, désaltère, et atténue la sensation de faim. L’usage du thé au Sahara est récent, Il remonte au milieu du XIXème siècle.
« Certes, ils sont différents les uns des autres, ces êtres assis autour de la théière de l’hospitalité. Les uns et les autres portent leurs mondes respectifs. Pour arriver à une réelle réciprocité, il faut beaucoup de patience et de désir. » (Jacques Berque).
« Le désert ne se raconte jamais, il se vit. »(Proverbe nomade)
C’est une invitation à la découverte de la culture nomade qui vous attend !

Saturday, April 9, 2011

venez visiter le Maroc

   bonjour , c'est ma première publication sur x-nomade ou je vous souhaite trouver toutes réponses sur le maroc et ses régions et aussi sur ses hotels aussi des idées  et des conseils pour un meilleur voayge
Aujoud'huit on parle sur le Maroc en général :
Situé entre Atlantique et Méditerranée, dominé par la chaîne de l'Atlas qui culmine à plus de 4000 m et s'achevant au sud dans le désert, le Maroc est une terre où s'exposent à loisir les caprices de la nature, Couleurs, reliefs, climats, paysages multiples, mais aussi palette humaine ou artistique révélant des contrastes saisissants.
Terre de l'Islam où se rencontrent les traditions fortement ancrées, des peuples berbères et arabes, ses quelques 3500 Km de cites sont parsemées de port où l'histoire s'est chargée de appétits de l'Europe occidentale. Le Maroc d'aujourd'hui offre dans ses cités des métissages d'influences dont les taux différent singulièrement entre les cotes exposées au vent des capitales commerciales de l'Occident chrétien et les terres protégées des montagnes du Rif et de l'Atlas..
Dans le coeur des villes comme dans celui de chacune des régions, palpitent les traditions immémoriales- traditions sur lesquelles s'est greffée la foi coranique, qui donne un sens divin aux gestes les plus quotidiens. Malgré cela, cet islam s'est ouvert aux révolutions techniques et à l'évolution morale de cette fin de siècle, les obscurantismes sont repoussés et les pistes d'autrefois peu à peu font place aux routes asphaltées.
En dépit de ces aménagements - dans les us et coutumes comme dans le nouveau confort des stations touristiques -, le Maroc  reste encore cette expérience "exotique" qui a bouleversé nombre d'artiste comme Delacroix. Flânerie dans les médinas éternelles des villes impériales, randonnées dans les hautes et sauvages vallées de l' Atlas,plaisirs multiples qu'offre la nature généreuse sur les cotes,mais aussi expériences qui marquent l'âme au contact des grand espaces de la montagne ou du désert... il n'y a ici ,parfois, qu'une porte entre la ville nouvelle et la médina du Moyen Age, et le même crayon de khôl entre tradition et coquetterie : il reste une intégrité et une richesse culturelle ou l'expérience humaine se mesure à la simplicité et à la grandeur de geste millénaires, celui de l'artisan au fond de son échoppe, ceux du muletier au fil de ruelles étroites et inquiétantes comme des goulet... ou celui du quidam qui offre le thé à la menthe comme une main tendue en signe de paix.

Discover the Magic of the Festival Taragalte: A Cultural Oasis in the Sahara Desert

  Discover the Magic of the Festival Taragalte: A Cultural Oasis in the Sahara Desert The Festival Taragalte is an annual music and arts fe...